Fig. Fig. Ne vous inquiétez pas, je prends cela sur moi, je prends tout sur moi. le cheval finalement prit son allure.). Prendre garde. 128), • J'ai pris, j'ai fait couler dans mes brûlantes veines Un poison que Médée apporta dans Athènes (RAC. Avec un nom de temps, remettre à une autre époque, à un autre moment. Il a pris là un métier fort rude. p. 138)— Mais prent batisme, jel te di sans contraire (ib. d'Argental, 8 mai 1773), • Je pris du goût pour la littérature et quelque discernement des bons livres (J. J. ROUSS.

Absolument, Je prends et je joue.PRENDRE se dit aussi des Levées d'hommes. VII), • Il me prenait par mon propre intérêt (FÉN. Vous coupez mal ce morceau; vous n'avez pas pris le sens. Lise : Elle n'a que vingt ans.

Le dictionnaire des synonymes permet de trouver des termes plus adaptés au contexte ou des termes plus précis que ceux utilisé habituellement. que vous plaît-il des deux ? Cet adjectif se prend substantivement. • Je trouve plaisant que cette vertu ne soit donnée qu'aux mâles de notre maison, et que nous autres femmes nous ayons pris toute la timidité (SÉV. Hist. Prendre un corps-mort, en faire parvenir les câbles à bord pour s'amarrer, au mouillage, sur ce corps-mort. , se dit pour se moquer de ceux qui ont manqué quelque capture. Il se dit quelquefois pour acheter. Prendre à travers champs à travers les terres labourées.

75. Lett. boit. Cet oiseau s'est laissé prendre à la main. Hist. ○   jokers, mots-croisés • Je prends à témoin le prince votre père si ce n'est pas vous que j'ai demandée (MOL. Par le sang de moy je pensois Pour qui c'est que vous me prenez, Il est, fait-elle, si chault que c'est merveilles ; et m'a dit la nourrice qu'il y a deux jours qu'il ne print la mamelle, Sus, emmenons ce malfaicteur ; Prenez devant, et moy derriere, Tant faisoit d'armes que à luy ne se osoit prendre [comparer] autre, tant fust bon chevalier, Prenez [supposez] que le plus fort viengne au dessus ; a il pour ce droict en la cause ? Prendre quelque chose, un nom, un titre, se le donner, se l'appliquer. Prendre patience. 217)— Les goutes et maladies de fourcelle [estomac] me prenroient (JOINV. I, 2), • C'est lui qui en a trop pris ; pour moi, j'en ai pris aussi ; ils sont si longtemps à table que par contenance on boit, et puis on boit encore, et on se trouve avec une gaieté extraordinaire (SÉV. Ce général avait été battu l'année précédente, mais il prit sa revanche.

On ne sait par où le prendre pour ne pas le faire crier, se dit d'un malade dont le corps est si douloureux qu'on ne peut le remuer sans lui causer de vives souffrances. 290), • Songez-y ; je vous laisse, et je viendrai vous prendre Pour vous mener au temple où ce fils doit m'attendre (RAC. 26. Vous avez pris une posture bien gênante. Il a pris le sabre de son ennemi. de Babyl. 4e partie. Liste des synonymes de Prendre en compteQuels autres mot pour Prendre en compte ? accepter de recevoir ou d'avoir (ex.

Ce verbe se prend figurément. Il a bien pris ce qu'on lui a dit de votre part. L'accès le prit à telle heure. Prendre le change sur un objet, sur une affaire, s'y tromper. 3. Carême, Mot. LXIII)— [Je] Ne sai quel mal la prist sous sa destre maissele [mâchoire] (ib. Fig et familièrement. [ellipse] Des plantes qui prennent de bouture. Prendre fait et cause. Il prend de l'embonpoint. Var. Prov. Critique, 6).

On dit dans le même sens : Prendre un cheval, une voiture, un bateau, une automobile, un avion.Fig., Prendre la bonne voie, la mauvaise voie, Se porter au bien, se porter au mal. Éc. • Vauban dit que le canon prendra cette place (PELLISSON Lett. On a pris beaucoup de poisson. t. III, p. 457), • J'ai pris dans l'horreur même où je suis parvenue Une force nouvelle à mon coeur inconnue (VOLT. • Laissez-leur prendre un pied chez vous, Ils en auront bientôt pris quatre (LA FONT. On dit dans le même sens : Avoir la taille bien prise, être de taille bien prise. Prendre une chose en considération, la remarquer, en tenir compte. Il lui prendra mal un jour d'avoir montré tant d'insouciance. Philos. Fig. pour qui me prendra-t-il ? 11 oct. 1679), • Don Gabriel forma le dessein de m'enlever, et prit si bien son temps et ses mesures, qu'il l'exécuta sans peine un soir que je m'en retournais toute seule à la ferme (LESAGE Estev.

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