JEROME : Ah, j’me suis senti à l’aise, là ! La décoration en général est supposée plaire à tout le monde ! NATHALIE : Plus grand !… GILBERT : J’ai l’impression qu’il va faire beau, hein ! Heu, j’t’ai trouvé un remplaçant Jean-Claude, tu viens toujours pas ? NATHALIE : C’est normal d’avoir des idées, mais de là à les concrétiser… NATHALIE : Fais attention, écoute, t’es pénible ! Le train pour Bourg-Saint-Maurice, c’est où ?

Bon ben, c’est qu’elle aura eu un empêchement alors, je suppose ! Ambuler ! On ne s’en lasse pas. FERNANDA : Il est l’heure d’aller dormir, buena note ! POPEYE : Faudrait qu’tu m’dépannes, parce que… est ce que j’pourrais loger chez toi ce soir, parce que, j’ai pas de logement, et puis si il faut qu’je dorme dehors avec ce froid, j’vais claquer, là ! Qui est ce qui veut boire un coup ? Modifiez-les dans la section Widget de l’outil de personnalisation.

JEAN-CLAUDE : Qui c’est qui a mis du fil, c’est immangeable ! GIGI : Oui ! CHRISTIANE : Tu mettras ta ceinture !

JEROME : J’ai pas accroché, j’ai ripé !

GIGI : Ne me touche pas ! NATHALIE : Haaaaa ! JEROME : Calme-toi Bernard, allez… Y a de la tarte aux myrtilles et de la salade alors !

GIGI : C’est fermé, Monsieur ! GIGI ET NATHALIE : Ha, non non non ! BERNARD : Y a pas marqué alpiniste là, s’te plait ! MARIUS : Et ça changerait quoi, hein ? Cela dit, il peut y avoir des gens sympas, moi je sais qu’une fois, y avait une escouade de gendarmes, ils ont chanté des chansons paillardes jusqu’à 3 heures du matin, on s’est éclatés ! NATHALIE : Et Popeye, qu’est ce qu’y devient ? LE VACANCIER : Merci beaucoup, Messieurs, Dames, au revoir ! Jean-Claude est encore plus malchanceux qu'avant. En principe, elle est en route, là ! JEROME : Mais t’es folle, j’t’ai rien dit !

Oh, j’ai une pêche, j’ai une pêche, les gars ! JEAN-CLAUDE : Heu… pour la journée ! JEAN-CLAUDE : Jean-Claude, et vous ?… C’est Dusse, avec un D comme Dusse ! Tu vois, ça fait une semaine, elle me parle plus du tout ! Puis tu m’fil’ras un coup d’balai parce que hier c’était vraiment dégueulasse !

LE DEPART, LE LENDEMAIN MATIN BERNARD : Popeye, tu nous la copieras, hein, ta balade ! LA VACANCIERE : Oui ! GIGI : Heu… vous pouvez peut-être donner vos manteaux, on va passer à table !

BERNARD : Merde, ils ont pris la meilleure chambre ! JEAN-CLAUDE : Mais oui, y a qu’à continuer, ça va la faire venir ! LE MONITEUR : Flexion, piquer du bâton, extension… Flexion, piquer du bâton, extension… Flexion, piquer du bâton, extension… GIGI : Non non non, on n’a pas l’temps, là ! Il fait suite au film Les Bronzés, sorti l'année précédente. JEAN-CLAUDE : C’est lui :! De toute façon, ça sera un grosse perte pour personne ! GIGI : Mais c’est vachement bien Jérôme ! (Nathalie gifle Bernard) LA RECEPTIONNISTE : Ah, mais je vois que votre dame est arrivée ! MONSIEUR CAMUS : Voilà ! L’AUTOMOBILISTE : Pas d’vot’ faute, pas d’vot’ faute! (tentant d’ouvrir la portière de sa voiture) Oh, merde, c’est g’lé ! JEAN-CLAUDE : Ben, c’est à dire, ça m’arrange pas, parce que j’avais pensé éventuellement conclure avec la réceptionniste ! BERNARD : Oui, j’suis prêt ! Tu m’as arraché l’œil ! Et puis, toutes mes amitiés à Marius, parce que c’est vraiment un chic type !

JEROME : Qu’est c’que c’est qu’ça ?

Ceci est un widget de texte. AU TIRE-FESSES JEROME : Bonsoir !

L’EMPLOYEE : Pour 1 heure ou 2 heures ? JEROME : Di… dites-moi, comment vous faites pour faire passer le… le crapaud à l’intérieur de la bouteille ? GILBERT : J’peux rester aussi ? JEAN-CLAUDE : On monte ensemble, j’suis avec le vieux, y va m’faire craquer là ! GIGI : Ha ! BERNARD : Tu vas voir, j’vais y arriver ! JEAN-CLAUDE : Attends une seconde… Bon écoutez, si jamais elle repasse, vous lui dites de m’appeler sans faute, hein ? LE COUSIN : Popeye, viens voir un peu, là !… Il manque 30 mille ! JEAN-CLAUDE : Et c’est qui y a dedans, là ? Vous pouvez l’utiliser pour afficher du texte, des liens, des images, des balises HTML ou une association de ces éléments. GILBERT : Mademoiselle, s’il vous plaît ! (de retour à table)

JEAN-CLAUDE : Mais, c’est normal ! JEROME : Mais non, mais non ! BERNARD : Salut, on vient te donner notre argent ! POPEYE : Messieurs ! T’as une carte de visite ? Gracié mille ! Oui, j’y arrive largement ! Attention ! JEROME : 2 minutes ! Où c’est qu’y s’croit, celui là ?, Tête de con ! Non : le téléphone du refuge est exclusivement réservé au fonctionnement du refuge et aux secours (liaison radio). LA RECEPTIONNISTE : Ah non, non ! (sur la piste) Très bien !

Waouw ! GIGI : Tu mens, Jérôme, tu mens !

Bon, y a qu’un moyen ! GIGI : C’qu’il y a d’bien avec Bernard et Nathalie, c’est que ils sont vraiment généreux ! Nathalie et Bernard, réconciliés et assez « nouveaux riches », sont propriétaires d'un appartement en temps partagé. Interview de Patrice Leconte dans l'édition DVD. GILBERT : Mais, c’est pas d’ma faute, c’est pas moi qui l’ai lancé !

NATHALIE : Fous moi la paix, toi !

Hop ! POPEYE : Qu’est ce que c’est qu’cette merde ?

Ca passe pas inaperçu ! Il pouvait pas mieux se garer, lui ! Avec qui ?

LE PAYSAN : Y avait blumaise en 8 lettres ! POPEYE : C’est vrai ça, sans blague, ils ont le cœur sur la main, tu sais ! A LA STATION JEROME : Ho ! JEAN-CLAUDE : Ben oui, mais moi, j’suis très embêté parce que j’avais demandé expressément une chambre double, parce que j’aurais p’t-être une copine éventuellement qui heu… viendrait de Paris ! GILBERT : Ouais, ça va !

POPEYE : Oh, la vache, regarde ça ! GIGI : Alle, allez cricri, rentre bien ! JEAN-CLAUDE : Ha, Fernanda, c’est Fernande en Français ! MARIUS : Heu… Oui… oui et non… Oui et non, enfin… parce que je m’occupais de perruques, de postiches, de toupets ! LE COCHON : Ouah ! Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. TOUS : Ouais, ouais, d’accord ! LES ITALIENS : Ciao, gracié, gracié, gracié mille !