Faanuunuu mai na oe . Où le combat fait rage,Là où l'ennemi se terre,Là où gronde l'orage,Sommes volontaires.Tous nos chars sont parés,Munitions embarquéesPour être les premiers.C'est le 3 au paquet,Qui s'en va, qui s'en va,Laissez le passerSi le cafard te guette,Alors viens avec nous,Et que rien ne t'arrêtes,Nous irons jusqu'au bout.Laisse là tes soucis,Prends ton sac et viens t'en,Le cœur rempli d'espoir.La trompette guerrière,Vient de sonner la charge,Pour nous,pas de barrière,Sommes sur nos gardes.Et sans peur nous marchons,Et sans peur nous luttons,Pour etre les vainqueurs, Il arriva un beau jour à la terrele roi soleil se montra enchantéDu regard mâle et de l'allure fièreDe tes cavaliers étrangers.Royal Dragon CavalerieNous sommes aussi brave qu'autrefoisLiberté pour notre patrieEt la gloire pour ses soldatsLe bien aimé fut conquis par tes chargesÀ Fontenoy que tu pris au galopLa France entière admira le courageDont tu fis preuve à MarengoL'Europe en guerre craignait l'aigle impérialeFuyant au fond ton étendard vainqueurSon arrivée sur le champ de batailleSonnait le glas de nos malheursBravant la mort, insolente compagne,Dans les tranchés de Verdun et D'YserTes dragons se sont battus en ChampagneMalgré le froid et la misèreNous sommes toujours la race ardente et fièreDes cavaliers des charges d'autrefoisNous maintenons leurs traditions guerrièresMalheur à qui nous attaquera, Du levant au couchant de notre beau paysLes gens de pied toujours gardent le même espritQu'ils descendent du ciel ou de leurs chars brûlantsQu'ils portent l'ancre d'or ou bien le képi blancLa grenade de ligne ou bien le cor d'argentLeur cri de ralliement restera en avantSoldat d'infanterie comme les anciens preuxServons France chérie sous la voûte des cieuxMaintenons cette flemme qui à Verdun brûlaitTrempons d'acier notre âme de fantassin FrançaisS'il faut des exemples, regardons le passéLes combats courageux dont nous sommes héritiersSous le soleil de feu la froidure et le ventVoyant sous le harnais tenant le premier rangComme à Sidi Brahim Camerone et BazeillesL'infanterie partout a su faire merveilleQuand les chars gronderont sur le sol ennemiLe temps viendra pour moi de dire adieux à ma mieAu fracas des combats je suivrais mes aînésSans crainte de la mort qui épie le guerrierEt si un dur matin elle me prend pour amantQue ce soit la victoire qui vienne par mon sang, 1er Régiment, l'plus beau des régimentsTerreur de l'ennemi quand il va de l'avantC'est le plus beau des régiments de FranceRégiment de Turenne et de MarceauQui de tous temps redonna l'espéranceEt fit honneur à son glorieux drapeauOn ne relève pas PicardieFière devise du régimentTu reflètes l'ardeur et la vieDe ceux qui sont morts en chantant :Aujourd'hui la patrie nous appelleAujourd'hui la victoire nous attendSoldats français sachons vaincre pour elleSachons rester dignes du régiment1er Régiment, bordel de régimentY a des grandes gamelles et rien à foutre dedans. autre version remporté par nos hérosSur les marbres et dans l'histoireEnfants vous verrez gravésLes noms rayonnants de gloireDe ceux qui nous ont sauvésMais en parlant de vos frèresN'oubliez pas MadelonQui versa sur leur misèreLa douleur d'une chansonChantons MadelonLa muse du front !Madelon la gorge nueLeur versait le vin nouveauLorsqu'elle vit toute émueQui ? Va laver ton cul malpropreCar il est pas propre tireli |Car il est pas propre tirela | bisEt elle aimait à rire avec tous les garçonsMais à force de rire son ventre devint rondMais à force de rire son ventre devint rondEt sa mère lui demande qui t'as fait ça SuzonEt sa mère lui demande qui t'as fait ça SuzonC'est le garde barrière derrière la maisonC'est le garde barrière derrière la maisonIl a mis sous ma robe son gros bâton tout rondIl a mis sous ma robe son gros bâton tout rondAu bout y'avait de la crème, Mon Dieu que c'était bonAu bout y'avait de la crème, Mon Dieu que c'était bonEt si c'était à refaire, je recommencerais, En descendant la rue grosse couilleJ'ai rencontré Marie-Suzon, la belle aux seins rondsQui s'en allait dire à sa mère"Maman les Paras sont partis, moi j'pars ! Sous un soleil d'occupationUn soldat rentre dans les rangsSous le rêve de cette nationIl va se battre loin devantDe Beaumholder à SaigonCroise le fer ennemi prend peurDe l'Indochine ou l'AlgérieCroise le fer ennemi ou meurtNi le nombre ni la mortN'arrêtera notre fantassinÀ la guerre il fut si fortQu'il put voir tous les matinsGénéreux et courageuxEn tant qu'homme il a léguéÀ ces hommes et dans leurs yeuxLa fierté de vivre en paixTous les hommes ont dans leurs cœursLe souvenir d'un meneurUn homme sans faiblesseAdjudant-Chef Rozes. La Grande Guerre déchirait notre belle patrieLa France dans la tempête appelait ses enfantsDelvert sous ces sombres nuages vint gravementMenant ses hommes avec courage pour son paysEn ce jour enseignez l'audace et la grandeurAu bataillon qui s'avance dans l'honneurCommandant Charles Delvert, pour marcherSur vos traces nous servons, jeunes officiers !À l'automne de la guerre, sous un rideau de pluieLa boue recouvre les hommes d'un linceul infini.Quand vous menez l'assaut se lèvent parmi les ombresCes hommes et le drapeau défiant l'orage sombre.Dans la fumée des canons, héros du fort de Vaux,Vous avez bravé la mort, contenu les assauts.Malgré le froid, le feu, la peur de l'inconnu,Quand sonne la relève vous restez invaincu.La plume remplaçant l'épée célébrera la victoire.L'homme sortant des tranchées nous conta son histoire.Humbles "Carnets d'un Fantassin", par cet ouvrage,Vous associez à nos destins un héritage.Voyez vos fils droits et fiers, qu'éclairent les étoiles,Rêvant sous cette bannière d'être un jour votre égal.Célébrons la plume qui honore la mémoireDe ceux par qui la France emporta la victoire. | (bis)Nos anciens ont su mourir.Pour la gloire de la Légion.Nous saurons bien tous périrSuivant la tradition.Au cours de nos campagnes lointaines,Affrontant la fièvre et le feu,Oublions avec nos peines,La mort qui nous oublie si peu.Tiens, voilà du boudin, voilà du boudin, voilà du boudinPour les Alsaciens, les Suisses et les Lorrains,Pour les Belges, y en a plus, Pour les Belges, y en a plus, |Ce sont des tireurs au cul. Il s'appelait Kergariou,S'en revenait d'on ne sait où.Probablement du Finistère.Bien qu'il eut d'illustres aïeux,Il était pauvre comme un gueux.Il n'en faisait aucun mystère,Portait l'habit des anciens jours,Et mettait le même toujours,Printemps, été, automne, hiver.Vint à Paris en bragou brez,Appuyé sur un grand pen-baz,À la bretonne.Mais en arrivant à la courIl eut duels chaque jourLe matin et l'après souperPour prouver aux gens de bon tonQue s'il jouait bien du bâtonIl tirait encore mieux l'épéeIl n'avait que des ennemisAu vingtième il eut pour amisTous les gens de la capitaleDevint alors un élégantHabit bleu, jabot, catogan,À la royale !Un beau jour enfin par surcroîtEntre dans les hussards du roiDont il fut bientôt capitaineDevint la terreur des épouxEut deux, trois quatre rendez-vousEt puis les compta par douzaineDe tout cœur il fut triomphantDe farouche qui se défendEt du craintif qui se hasardeHop là ! Parmi les zouaves après la Grande GuerreVous vous démarquez de vos pairsBrillant soldat dont les tirailleurs,Vont reconnaître la grandeur !La guerre éclate et vous sous-lieutenantCommandez votre groupe francEt les Allemands vont vacillerPris dans une lutte acharnéeVoyez PercevalDans les matins brumeux de BretagneS'avancent vos enfants d'arme et d'idéalQue votre foi nous accompagne !Fier officier Joseph PercevalPar les mots de notre sermentDonnez nous l'audaceDe servir jusqu'au bout !Cette nuit voit briller sur nos sabresVotre nom comme un héritageDonnez-nous l'audaceDe servir jusqu'au bout.Contre-chantVoyez Joseph PercevalVos fils à genouxDemandant l'audaceDe servir jusqu'au bout.Prisonnier du palais de l’Élysée,Plein d'allant vous vous évadezParti rallier le Tchad et LeclercRenaître et vaincre en plein désert !Vous obtenez baïonnette au canon,La croix de la Libération,Face à vous toute une compagnie,Dans les sables de Tunisie !Après avoir gagné la NormandieVous luttez au cœur de ParisPuis libérez la terre d'Alsace,Où tant de coloniaux trépassent !Le serment de Koufra est bien tenu :Le RMT reste invaincu !Au nid d'aigle l'épopée s'achève,Vos clairons y sonnent la trêve ! Honneur aux morts.Dans les plis du drapeau, en un dernier hommage,Reposez en paix. (bis)Soldat du régiment quand tu partiras au loinSouviens-toi ardemment des hauts faits de tes anciensHonore leurs mémoires en saluant l'étendardCent vingt et un, Transporte et combat. Carnet de route, rencontre par thème OUVRIR / FERMER Un carnet de route est à votre disposition pour guider vos rencontres d’équipe. Ni le courage ni la fiertéNe sont valeurs périmées.Par la bravoure qui guide leurs actesDepuis toujours des volontairesRefont ce pacte : Gagner la guerre.Comme tout ceux qui, avant nousPour la victoire ce sont unisNous acceptons tous de souffrirPour ce que nous avons choisi :Ne pas subir.Il est parmi ces volontairesUn homme brave comme ses pairsDont le courage et le mérite,La volonté qui le poussaitImposent à tous le respect.Saint Jacques dont toute la valeurFait à la France rendre honneur.Nous vous avons pris pour exempleSaint Jacques dont le souvenirVient pour tracer notre avenir. avec mes sabots ! (43. Marchons !Serrons les rangsMort aux ennemis de la FranceQuand votre pied rapide et sûrRase le sol, franchit l'abîmeOn doit voir à travers l'azurL'aigle voler de cime en cimeVous roulez en noirs tourbillonsEt parfois, limiers invinciblesVous vous couchez dans les sillonsPour vous relevez plus terriblesAux champs où l'oued Had suit son coursSidi-Brahim a vu nos frèresUn contre cent lutter trois joursContre des hordes sanguinairesIls sont tombés silencieuxSous le choc comme une murailleQue leurs fantômes glorieuxGuident nos pas dans la batailleHéros aux courages inspirésVos pères conquirent le mondeEt le monde régénéréEngerbe la trace fécondeNobles aïeux reposez-vousDormez dans vos couches austèresLa France peut compter sur nousLes fils seront dignes des pères, Bercé dans l'aventureChoisissant une vie dureVous partez défendreL'honneur français au lointainSur le sol africainNous voulons servirMême s'il faut mourirÀ travers les tourmentsVous luttiez bravementGuidez-nous plus hautVous Général LargeauAu cours de dix annéesAu Ouadaï opposéVous repoussezLes Senoussistes jusqu'au confinsDu territoire tchadienTravailleur acharnéVous savez enseignerEt par votre exempleEt par votre fermetéValeureux officier !Revenant au paysDéfendre la PatrieC'est le don suprêmeQue vous offrez sur le frontAvec abnégation, Fier Lieutenant Tom MorelOfficier dont le nom rappelleCe pourquoi nous avons choisiDe servir notre PatriePour l'amour de notre paysNous voulons raviver l'espritAuquel vous êtes resté fidèleIl nous servira de modèleTom Morel fier LieutenantNos Casoars rouges et blancsJamais ne veulent s'abaisserIls marquent notre volontéDe servir comme OfficierMême si la vie il faut donnerJeunesse, panache et volontéCes valeurs que vous incarnezMarquent l'élan de nos vingt ansNe nos Casos flottant au ventQue notre Premier BataillonÀ l'appel de votre nomAffirme sa vocationDans le respect des TraditionsCe soir un genou en terreNous souvenant des GlièresDe cette farouche volontéDe faire vivre la libertéCet exemple que vous donnezDe Gloire et de DignitéNous montre jeunes OfficiersLa voie qu'il nous est donnée, Heureux ceux qui sont mortsPour la terre charnelleMais pourvu que ce futDans une juste guerreHeureux ceux qui sont mortsPour quatre coins de terreHeureux ceux qui sont mortsD'une mort solennelleHeureux ceux qui sont mortsDans les grandes bataillesCouchés dessus le solÀ la face de DieuHeureux ceux qui sont mortsDans un dernier haut lieuParmi tout l'appareilDes grandes funéraillesHeureux ceux qui sont mortsCar ils sont retournésDans la première argileEt la première terreHeureux ceux qui sont mortsDans une juste guerreHeureux les épis mursEt les blés moissonnés, Trois Saint-cyriens sont sortis de l'enferUn soir, par la fenêtreEt l'on dit, que Monsieur LuciferN'en est plus le maîtreLa sentinelle qui les gardaitEn les voyant paraîtrePar trois fois s'écriaHalte-là ! Notre drapeau, triomphant dans la gloireFut le berceau de cet enfant de FranceFils d'une Bretagne qui marqua ta naissanceYann de Lanlay, tu forceras l'Histoire.Quand tu choisis le chemin du serviceDans la bataille, le chef déjà esquissé.Ô, soldat, tu combats dans l'ardeurEt de la France toujours le serviteurPreux chevalier de l'aigle à ConstantineToujours devant et à l'assautToujours vaillant, sois le héros de nos valeursGénéral de Lanlay la promotion s'incline avec espoirForge-nous de ta flamme. (bis)Jusqu'à présent sur ma feuille de route,Dieu ne voulut apposer son visa,J'étais pourtant à la grande redoute,J'ai vu les eaux de la Bérésina.À Waterloo j'ai porté la cuirasse,Quel jour de sang, quel souvenir amer,Comme un torrent, un ouragan qui passe,J'ai vu charger un régiment de fer ! oui vraiment,Cadet Rousselle est bon enfant.Cadet Rousselle a une épée, (bis)Très longue, mais toute rouillée, (bis)On dit qu'ell' ne cherche querelle,Qu'aux moineaux et qu'aux hirondelles.Ah ! Et le bras droit ! Dessous ma fenêtre,Y'a un oiseletToute la nuit chante,Chante sa chanson.S'il chante, qu'il chante.Ce n'est pas pour moi,Mais c'est pour ma mieQui est loin de moi.Ces fières montagnes,À mes yeux navrés,Cachent de ma mieLes traits bien-aimés.Baissez-vous montagnes,Plaines, haussez-vous,Que mes yeux s'en aillentOù sont mes amours.Les chères montagnes,Tant s'abaisseront,Qu'à la fin ma mieMes yeux reverront. endobj endobj 435 0 obj . Connaissez-vous ces hommes qui marchent là-basÉcoutez un peu la chanson de leurs pasElle vous dit qu'ils ont martelé bien des routesEt ça c'est vrai, il n'y a aucun douteDu Tonkin à DakarD'Afrique en NorvègeDans le sable, le vent et la neigeGloire à la Légion Étrangère.Ai O - Ai O - Ai O - OO (bis)Légionnaire de l'Afrique suis tes anciens.De ton allure magnifique va ton cheminTête haute sans tourner les yeux,L'âme légère et le cœur joyeuxSuis ta route sans peur de tomberAvec Honneur et Fidélité. Fier officier de LégionAvide d'actionTu as toujours su montrerHonneur, fidélitéDe la belle terre de FranceAu soleil mexicainSous-lieutenant Vilain traceNous un glorieux cheminMarchons, marchonsDerrière ceux de CameroneMarchons, marchonsQuatrième bataillon !A l'horizon du désertLe soleil s'enfuitRésiste fort légionnaireComme en ItalieTant qu'ils ont encore des armesPercent dans la nuitAutant d'étincelles que d'étoilesEt tombent les ennemisNoble issue de ce serment"Servir ou mourir"Gardez-vous mon lieutenantUn dernier soupirDans nos âmes toujours brûlantVit ton souvenirUnis par ton nom maintenantDécidé à nous instruireServons, servonsAvec ceux de CameroneServons, servonsQuatrième bataillon ! Il est au bal musette,Un air rempli de douceurQui fait tourner les têtes,Qui fait chavirer les cœurs,Tandis qu'on glisse à petits pasSerrant celui qu'on aime dans ses bras,Tout bas l'on dit dans un frisson,En écoutant jouer l'accordéonC'est la java bleue, la java la plus belle,Celle qui ensorcelle, et que l'on danseLes yeux dans les yeux au rythme joyeux,Quand les corps se confondentComme elle est au monde, il n'y en a pas deuxC'est la java bleue.Chéri, sous ton étreinte,Je veux te serrer plus fortPour mieux garder l'empreinteEt la chaleur de ton corps...Que de promesses, que de serments,On se fait dans la folie d'un momentMais des serments remplis d'amour,On sait qu'on ne les tiendra pas toujours. C . (bis), Quand au début de la guerr'européenneLe cent-quarant'a pris le train pour le frontOn a senti, dans le cœur, beaucoup de peineDe voir partir tous ces enfants au canon.Toutes les mères de familleLes frèr's,les fiancées, les sœursVoyant ça n'était pas tranquillesEt s'écriaient avec douleur"Mourir pour le Drapeau""Certain'ment c'est très beau ! Debout ! Un jour d'octobre, loin de chez eux,Parachutés près du Viêt Minh,600 soldats au cœur de feu,Prêts à mourir pour l'Indochine.Leur âme est pure, leur foi profonde,Leur volonté faite d'acier,Que leur courage nous inonde,Comme dans les combats de Tu-Lê. Qu'il pleuve qu'il neige ou sous un ciel ardentQue les nuits glaciales succèdent au soleil brûlantNos visages couverts de poussièreToujours sourient montrant que nous sommes fiers.Car nous sommes ceux des charsSoldats aux bérets noirs. Ils sont nés au sein des Corps d'arméeAspirants rêvant de reconquête,Pour venger l'affront de la défaite.Dans la grande guerre, s'est affirméSans faillir leur courage exemplaireD'officiers au renom légendaire.L'insigne honneur ils eurent ainsiDe devenir des fils de Saint-Cyr.Fiers officiers, en héritiers,Instruisons-nous pour vaincre!Fiers officiers, cœurs sans faiblesse,Nous ne saurions craindrePour l'honneur d'être prêts à périrAu seul cri de l'audace de servir!Nos anciens de Saint-Maixent, CherchellEn s'engageant dans l'InfanterieDe leur sang par milliers ont écritLes hauts faits de l'histoire immortelle.Des grandes promotions d'aspirantsLa guerre a clairsemé bien des rangsPour libérer la mère patrie,Défendre Indochine et Algérie.La paix trouvée, notre formationUnissant passé et avenir,Retrouvant les couleurs de Saint-CyrDevint quatrième bataillon.Mille fois chanté ou murmuré,Méprisant peur, doutes et regrets,Ce noble récit de notre histoire,Enflamme nos cœurs épris de gloire. "Combien de batailles épiquesEn Indo le 7 livraDont la résistance héroÏqueDe la 13 à Yen-Cu-HaHoa-Binh, Boi-Khe, An-KhoaiMauritanie et GabonTous ces enfers de mitrailleOnt forgé nos traditions.Préparons nous jour après jourEt nous vaincrons à notre tourEt nous vaincrons à notre tour ! Sergent Mugnier délaissant la paix du Maroc,Engagement au sein du premier choc,Âme déjà blessée par tant de sang versé,La douleur à Conca, la mort de votre aîné.Fière promotion, Sous-officier de demain,Nous demandons humblement de lier le destin.Sergent Mugnier, votre esprit souffle en nos cœurs,Et nous mènera au combat en vainqueurs.Audace des commandos en route pour Ronchamp,Soudain pris à parti par les feux allemands,Au pied de la chapelle, se rallient les fidèles,Une grâce des cieux qui vous fît victorieux.Vous combattiez au plus profond de la bataille,Libérant le pays du joug de l'ennemi,La campagne d'Alsace, la violence à Jebsheim,Jeté dans la tourmente d'une horrible tuerie.André Mugnier, ton dévouement à la Patrie,Fidèle acharnement à défendre sa gloire,Don suprême de ta vie, ne versons pas de larmes,Courage et sacrifice, imprégnant nos esprits. Perdu dans ce désert, pour y servir la FranceTu marches en rêvant aux deux pays natalIci c'est le danger dans l'étendue immenseLa dune ou l'oasis peuvent être fatalsQui vive ? Sur Kolwezi ils ont sautéCes Français par le sang verséServant la paix, la libertéExemples pour nous, officiers.Ils ont honoré leur drapeauReprenons le flambeauÀ la gloire de la LégionMore MajorumSous un ciel lourd, chargé d'oragesIls ont délivré les otagesDans l'honneur, la fidélitéComme eux, servons avec fierté.Fidélité aux traditionsUnis par notre promotionPartout où le combat fait signeDe nos anciens montrons-nous dignes. Artilleur, aux côtés de tes frères,N'oublie pas notre fière devise,De Roc, de Feu,Que ta poudre brise,L'ennemi, les rêves éphémères.Pour l'honneur de ton Étendard,Malgré le froid, la peur, tu gardes espoir,Soldat, sois fier,De servir au 93.Au milieu des pentes enneigées,tu déchaînes le feu de tes canons,Tous tremblent,devant ces oranges d'acier,Ta vaillance, ta force et ton renom. "Vous qui, dans l'espoir de Saint-CyrPâlissez sur de noirs bouquinsPuissiez-vous ne jamais réussirC'est le vœu de vos grands AnciensSi vous connaissiez les horreursDe la pompe et du bataillonVous préféreriez les douceursDe la vie que les Pékins ont, Noble Galette que ton nomSoit immortel en notre HistoireQu'il soit ennobli par la gloireD'une vaillante promotion !Et si dans l'avenirTon nom vient à paraîtreOn y joindra peut-êtreNotre grand souvenirOn dira qu'à Saint-CyrOù tu parus si belleLa promotion nouvelleVient pour t'ensevelirToi qui toujours dans nos malheursFus une compagne assidue,Toi, qu'hélas nous avons perdue,Reçois le tribut de nos pleursNous ferons un cercueilOù sera déposéeTa dépouille sacréeNous porterons ton deuilEt si quelqu'un de nousVient à s'offrir en gageL'officier en hommageFléchira le genouAmis, il faut nous réunirAutour de la galette sainteEt qu'à jamais dans cette enceinteRègne son noble souvenirQue ton nom tout puissantS'il vient un jour d'alarmeÀ cinq cents frères d'armesServe de ralliementQu'au jour de la conquêteÀ défaut d'ÉtendardQue nous ayons la galettePour fixer nos regardsSoit que le souffle du malheurSur notre tête se déchaîneSoit que sur la terre africaineNous allions périr pour l'honneurOu soit qu'un ciel plus purReluise sur nos têtesEt que loin des tempêtesNos jour soit tous d'azurOui tu seras encoreÔ galette sacréeLa mère vénéréeDe l'épaulette d'or, Quand les Cyrards quittant l'ÉcoleÀ Paris débarquent gaiementLes Casos frisés par le ventSe répandent en bandes follesIls flottent, ils flottent gentiment |(bis)Les Casoars rouges et blancs |Ils font l'objet des rêveriesDes mamans berçant leur bébéLes potaches à l'air blasésLeur jettent des regards d'envieIls fuient rapides et légers |(bis)Comme des rêves ébauchés |Ils vont là où le cœur les mèneAu nid d'amour pour s'y griserDe caresses et de baisersDont-ils sont privés en semaineIls frôlent des minois charmants |(bis)Les Casoars rouges et blancs |Mais quand là-bas à la frontièreLe canon les a appeléIls vont combattre en rangs serrésPas un ne regarde en arrièreIls sont les premiers à l'assaut |(bis)Les valeureux petit Casos |Rouges et blancs ils sont l'emblèmeDes amours noyées dans le sangD'adieux que le Cyrard mourantFait porter à celle qu'il aimeCeux-là font couler bien des pleurs |(bis)Qui sont tombés au Champ d'Honneur |Tantôt les caresses des femmesTantôt les balles et les bouletsAime, mourir, c'est leur métierDe servir la France et les damesVoilà ce que disent en mourant |(bis)Les Casoars rouges et blancs |, Il est d'un usage constantQu'en tout pays et qu'en tout tempsIl soit au monde de bons enfantsQue l'on débineOn les appelle de noms d'oiseauxDe j' m'en foutistes, de rigolosMais à Saint-Cyr pour eux reposCe sont les FinesPourquoi les appelle-t-on ainsiNul encore ne l'a jamais ditC'est qu'avec eux tout se finitTout se termineInsoucieux de leur destinToujours joyeux et pleins d'entrainIls pompent seulement le PékinCe sont les FinesS'ils ont les calots bahutésC'est sûrement pas par méchancetéNi pour braver l'autoritéQui les taquineMais c'est qu'à tire-larigotQu'ils sortent ou qu'ils aillent au cachotIls font partout toujours calotCe sont les FinesSi leur tunique n'a pas de cornardIls disent que ça viendra plus tardÇa fait tout de même de bon CyrardQue l'on estimeEt qu'on attend impatiemmentCar voyant Paris moins souventIls ont plus de nerf et plus d'argentCe sont les FinesS'ils terminent les listes de classementC'est qu'à Saint-Cyr pendant deux ansÀ faire la pompe éperdumentNul ne s'échineMais allez dans les salles de jeuxSur les marbres blancs glorieuxParmi tant de noms valeureuxY a bien des Fines, Le dimanche à VersaillesLes Saint-cyriens guerriersSe rangent en batailleSe mettant à chanterOhé ! (bis)De 14 à 18, nos anciens valeureux,Sur les fronts de Champagne, glorieux,De Massiges à Gembloux, les canons du RégimentRésonnent hardi et vaillamment. (bis)Artilleurs au Royal, telle est notre fierté,Notre foudre devant elle dévastera,Artilleurs au Royal, nous serons les premiers,Ce cri résonne des fusiliers du Roi. "Mais ta botte déjà attendait l'étrier !Qu'à Saint-Cyr à jamais ta promotion t'égale,Que notre bataillon te rende cet hommagePuissions-nous être à ton image,Général Lasalle !Entendez-vous, soldats, s'éloigner les hussards ?Au pas de leurs chevaux, braves sans être sages,Ils emportent, jaloux, ta fougue et ton courage,Et ton ardeur, Lasalle, anime leur regard !Si demain nous marchions vers de nouveaux combats,Si demain à nouveau retentissait la foudre,Prête-nous ce pouvoir de sourire à la poudre !Le courage de ceux qui ne s'inclinent pas !Qu'à Saint-Cyr à jamais ta promotion t'égale,Que notre bataillon te rende cet hommagePuissions-nous être à ton image,Général Lasalle ! Découvrez le répertoire de chants de l'Emmanuel, des plus anciens chants jusqu'aux toutes dernières compositions, mais aussi des chants issus d'autres communautés et mouvements, pour animer vos assemblées de prière, vos célébrations ou votre prière personnelle. !Et le pied gauche !! Elle fait chanter les hommes, et s'agrandir le mondeElle fait parfois souffrir tout le long d'une vie,Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombreMais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.Elle court, elle court, la maladie d'amourDans le cœur des enfants, de 7 à 77 ansElle chante, elle chante, la rivière insolenteQui unit dans son lit,Les cheveux blonds, les cheveux grisElle surprend l'écolière, sur le banc d'une classe,Par le charme innocent d'un professeur d'anglaisElle foudroie dans l'ombre cet inconnu qui passeEt qui n'oubliera plus ce parfum qui volait. Soldat au cœur de la tourmente,Officier fier et insoumis,Défendez la France vaillante,Luttez sans esprit de repli.Travail, Honneur et Fidélité.Gardez nos armes, écrivez notre histoire.De ces hauteurs, Général Le Ray,Gardez nos armes pour la victoire.Colditz pensait vous retenir,Privé de votre liberté.Défiant l'ennemi sans faillir,Ouvrez la voie aux évadés.Peuple de la nuit, levez-vous.Pour la Patrie livrez combat.Gardez la flamme jusqu'au bout.Dans le Vercors, suivez-moi !Armée des Alpes, recouvrezD'un blanc linceul l'ennemi.Reprenez-lui chaque sommet,Qu'il abandonne au Montcenis !En Indochine, en Kabylie,De la France portez la grandeur.Dernier hommage à votre vie,La Promotion rend les honneurs. oui vraiment,Cadet Rousselle est bon enfant.Cadet Rousselle ne mourra pas, (bis)Car avant de sauter le pas, (bis)On dit qu'il apprend l'orthographe,Pour fair' lui-mêm' son épitaphe.Ah ! 28/07/08 : possibilité de signaler une erreur et de corriger une chanson vous même 14/03/08 : moteur de recherche (bis)Luttaient toujours les ailes et l'ancre d'or,Offrant leur gloire au pays, à l'armée ;Les rives rouges se rappellent encoreLes Combattants pour la France à jamais.Ce chef guide au combatNos sabres et nos cœurs. "Pour la France ! croyez moi laissez-la la carottePréférez lui le vît d'un beau garçon, Suzon était serveuse, serveuse dans un boxonEt elle aimait à rire avec tous les garçonsAh ! Toujours présent dans toute les campagnes de Verdun à laMalmaison, en Italie, en France, en AllemagneNotre Patrie nous libérionsGloire au 19e RégimentC'est nous les sapeurs d'Afrique qui avons parcouru le mondeC'est nous qui avons toujours donné nos cœur est servi la FranceC'est nous les sapeurs d'Afrique qui marchons avec espéranceNotre devise souvent construire, Parfois détruire, Toujours servirEn Algérie et en IndochineBeaucoup des nôtres sont tombésNotre drapeau s'est couvert de gloireSuivons la trace de nos aînésGloire au 19e régimentDans le djebel, les monts et les plainesBravant le feu de l'ennemiAvec nos bras, nos engins, nos pellesRoutes et ponts avons construitsGloire au 19e RégimentÔ Métropole ô mère PatrieNous qui t'avons toujours aiméeTe servirons toute vieAvec Honneur. avec mes sabots !Rencontré trois capitaines, Avec mes sabots, (bis)Ils m'ont appelé vilaine,Avec mes sabots dondaine,Oh ! avec mes sabots !S'il fleurit, je serai reine, Avec mes sabots, (bis)Mais s'il meurt, je perds ma peine,Avec mes sabots dondaine,Oh ! (bis)Nous célébrons la gloire de tes élèves officiers ;Dalat, page d'espoir, fierté de notre armée.Dalat, à leur image, nous venons tous servir.Et au delà des âges, louer leur souvenir.Ce tigre d'Indochine qu'ils portaient fièrementBrille sur nos poitrines, espoir au firmament. Notre régiment le 23e est au cœur de la FranceAu cœur de Paris vibrant quand les Marsouins s'avancentCar notre belle capitale aime ses soldats toujours gais et hardis Qui sont dans toutes leurs escales les plus vaillants messagers de Paris. En Bretagne dans un port de guerreÀ Lorient pour mieux s'expliquerSe trouve un régiment de ferDont on vous a souvent parléL'artillerie coloniale mes frèresCelle qui n'a jamais reculéQui a fait trembler l'universPar ses exploits et sa fierté.Nos ennemis dans leur malheurSe souviennent dans leurs prièresDe notre devise guerrièreAlter post fulmina terrorDes combats de Lützen à nos joursComme à Bazeilles, se trouveraLe 1er RAMa, encore et toujours le 1er RAMaMais dans ces grands pays sauvagesOù la mort guette à chaque pasOù la fièvre fait de grands ravagesBien plus que la lance des HovasLe bigor va pourtant sans crainteS'il est frappé du Pavillon NoirIl mourra sans pousser une plaintePour son pays et pour l'Étendard.Quand ils sont désignés pour partirPour la Chine ou MadagascarL'Tonkin, la Nouvelle-CalédonieIl faut les voir faire du pétardCar c'est la bombe tous les joursTous les jours c'est la folieCar on ne rigole pas toujoursLà-bas bien loin aux colonies.Mais quand ils quittent la terre fermeFaut les voir sur le pont du bateauCrier tous d'une voix fermeC'est pour notre vieux drapeauSoyez sans crainte petite mèreConsolez-vous belle fiancéeJe suis un gars solide et fierEt j'ai l'âme bien trempée.Mais hélas lorsqu'un beau matinOn lève l'ancre pour le départOn a beau faire le malinÇa nous travaille tout de même le cafardCar on pense à son adoréeÀ sa mère, à ses vieux parentsMis tant pis, c'est la destinéeLe pays a besoin d'ses enfants.Que l'aventure continue"Ed' la lunette ed' nos longues vues"Tout azimut scrutent la brumeQu'à la suite des anciens de la SommeEt des Africains de ChamprosayDe Bir Hakeim libres françaisDes Balkans aux plus vastes horizonsRésonne le son de nos canons. La Légion marche vers le frontEn chantant nous suivons,Héritiers de ses traditionsNous sommes avec elle.Nous sommes les hommes des troupes d'assaut,Soldats de la vieille LégionDemain brandissant nos DrapeauxEn vainqueurs nous défileronsNous n'avons pas seulement des armesMais le diable marche avec nous.Ha, ha, ha, ha, ha, ha, Car nos aînés de la LégionSe battant là-bas, nous emboîtons le pas.