Ils se sont mariés en 2002 à Luanda. Après le feu vert de l'autorité de la concurrence, la fusion des deux entreprises a été officialisée le 27 août 2013, avec le transfert à ZON Optimus.

Tout est tombé par terre pour le "prince consort" du couple le plus people d'Afrique centrale, qui aimait fréquenter le festival de Cannes.

Dans le cadre de l'enquête angolaise sur les détournements de fonds à la Sonangol, en février 2020, la justice portugaise accède à la demande de la justice angolaise et gèle les avoirs d'Isabel dos Santos au Portugal[65]. Le 27 novembre 2012, elle a rejoint, avec des fonctions non exécutives, le conseil d'administration de ZON Multimédia[38] Le 14 décembre 2012, Isabel dos Santos a annoncé l'invitation faite aux actionnaires de ZON Multimédia pour la fusion avec Sonaecom par incorporation, donnant naissance à un nouvel opérateur[33]. Dans le cadre de la série BBC 100 Women, qui choisit, chaque année, les femmes qui se sont démarquées dans leur domaine[27], Isabel dos Santos a été choisie pour intégrer la liste en raison de son rôle prépondérant au sein de l’économie et du développement du continent africain[28],[29]. Selon ses détracteurs, elle tient sa fortune du système népotique mis en place par son père durant sa présidence, de 1979 à 2017[5]. Le 30 décembre 2019, dans le cadre d'une autre enquête de détournement de fonds en Angola portant sur plusieurs centaines de millions d'euros, ses comptes bancaires en Angola sont saisis et les actifs des entreprises qu'elle possède sont bloqués.
Au cours des 20 dernières années, elle a été gestionnaire et a occupé des postes de direction dans des sociétés cotées sur des bourses européennes.
En plus de son intérêt commercial dans le pétrole et les diamants[30], Isabel dos Santos possède également des participations dans la société de ciment angolaise Nova Cimangola[31] société dont son mari est membre du conseil d'administration[32]. Les investissements effectués par Isabel dos Santos au Portugal dans les sociétés cotées sont soumis à un contrôle officiel de la Commission du marché des valeurs mobiliers[37], l'autorité portugaise de régulation des marchés financiers. Derrière Isabel, Sindika: l'homme d'affaires Sindika Dokolo est désormais éclaboussé au même titre que son épouse Isabel dos Santos, fille de l'ex-président angolais et femme la plus riche d'Afrique, par des révélations sur les montages financiers opaques du couple.

Opposant virtuel à Kinshasa, M. Dokolo prospérait dans l'Angola voisin depuis son mariage avec la "princesse Isabel" en 2002. Le mari d’Isabel Dos Santos vivait à Dubaï. À l'âge de 24 ans, Isabel dos Santos a rejoint les affaires en utilisant l'influence de son père[22]. En 2012, Isabel dos Santos se rend au Maroc pour réaliser plusieurs investissements dans le royaume chérifien, une motivation freinée par de « puissants hommes d'affaires marocains » qui voient d'un mauvais œil l'arrivée d'une personnalité controversée dans le monde des affaires du Maroc[25]. Ce dossier s'est basé sur environ 715 000 documents reçus par le consortium, détaillant les pratique, participations et transactions financières ayant permis à Isabel dos Santos et à son mari (Sindika Dokolo) de détourner une grande quantité d'argent public de l'Angola vers des paradis fiscaux.Trois jours plus tard (dans la nuit du 22 janvier) Nuno Ribeiro da Cunha (45 ans, le gestionnaire de fortune personnel d'Isabel dos Santos et par ailleurs directeur de la banque privée EuroBic, dont 42% des actions ont été acquises par Isabel Dos Santos) est retrouvé mort dans le garage de sa maison de Lisbonne[64]. Isabel dos Santos est la fille aînée de José Eduardo dos Santos, président de la République d'Angola de 1979 à 2017, et de sa première épouse, Tatiana Kukanova, d'origine russe[6],[7],[8],[9].