Dans ses missions quotidiennes, elle participe à la sécurité publique générale aux côtés de la gendarmerie départementale. Son état-major est implanté à Maisons-Alfort (94) depuis 2012 [1]. Enfin, elle effectue un certain nombre de missions militaires, tant sur le territoire national qu'en opérations extérieures (OPEX) au sein des forces armées françaises. Le 1er septembre 1991, à l'occasion de la réorganisation nationale de la gendarmerie mobile, le groupement est dissous et recréé à Melun sous l'appellation de Groupement II/1 de gendarmerie mobile [7]. Il s'agit des 6 antennes implantées en métropole. La gendarmerie mobile est régulièrement employée outre-mer ou dans le cadre d'opérations extérieures de l'armée française, contrairement aux CRS de la police nationale. Il s'agit des moyens utilisés en unité constituée et donc sous la responsabilité de l'autorité civile ou du commandant d'unité. Elle met en œuvre 109 escadrons[21] ainsi que des unités spécialisées dans les missions de sécurité ou de soutien et la Musique de la gendarmerie mobile. La gendarmerie dispose également du camp de Frileuse à Beynes (Yvelines), qui est notamment utilisé par le GIGN. Il dispose des moyens et unités classiques de Gendarmerie Mobile : Pelotons de marche, pelotons d'intervention, équipes lance-grandes lacrymo, équipes LDB, pelotons logistiques hors rang, équipes cynophiles, PC mobiles, VBRG, hélicoptères "Choucas" et drônes, Le simulateur se joue en "tour par tour" et met l'accent sur les contraintes et tactiques réalistes de maintien de l'ordre (MO), Globalement, pour les amateurs qui connaissent, le système s'apparente à celui du célèbre logiciel de simulation tactique militaire STEEL PANTHERS avec en plus les animations et la gestion des moyens opérationnels. Le maintien de l'ordre est la raison d'être de la gendarmerie mobile mais il ne constitue qu'une partie de son activité[17]. Il sera recréé à Aubervilliers en 2012 (en fait c'est l'ancien EGM 32/1 voir ci-dessous). La dernière modification de cette page a été faite le 17 janvier 2020 à 12:29. En 1921 sont créés les premiers pelotons mobiles de gendarmerie au sein de la gendarmerie départementale. Sources GGM II/1 et Bulletin Officiel du Ministère de l'intérieur (BOMI) No 2012-06 25 octobre 2012. Force de réserve gouvernementale, déployée en permanence outre-mer et régulièrement engagée dans les crises et conflits aux côtés de l'armée de terre, son cœur de métier reste le maintien de l'ordre même si la loi d'orientation et de programmation pour la sécurité intérieure (LOPSI) du 29 août 2002 a encore renforcé son rôle et ses missions de sécurité générale. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intéréts. La loi d'orientation et de programmation pour la sécurité intérieure (LOPSI) du 29 août 2002 sur l'emploi des forces mobiles avait fait évoluer la doctrine d'emploi vers une réelle déconcentration en conciliant les exigences de sécurité générale avec celles du maintien de l'ordre, le préfet de zone de défense étant l'autorité d'emploi des unités disponibles implantées dans son ressort. Dans les autres, ils sont répartis dans les différents pelotons de l'unité. La Gendarmerie mobile est composée d'environ 13000 personnels[1]. De ce fait, contrairement aux escadrons dits "de marche" de la gendarmerie mobile, l'unité ne se déplace pas et n'effectue pas de maintien de l'ordre . Sécurité publique Dans certains de ces escadrons, les personnels qualifiés « montagne » sont regroupés au sein d'un même peloton. Dans son numéro 375 de mars 2015, le magazine annonce l'intégration d'une trentaine de personnels féminins au sein des escadrons 11/1 (Satory), 21/2 (Mont-de-Marsan) et 11/5 (Sathonay-Camp) et avril et juin 2015 dans le cadre d'une première phase expérimentale devant s'achever à la fin du premier semestre 2016, et au terme de laquelle une évaluation sera conduite afin de « déterminer les modalités de sa généralisation ». Cette appellation a remplacé celles de Sous-Groupement Opérationnel de maintien de l'ordre (SGOMO) qui était auparavant employée. sécurité des zones d'affluence saisonnière. Moyens, entraînement et conditions d'engagement au maintien de l'ordre. Les personnels des 7 antennes implantées outre-mer proviennent pour la plupart de la gendarmerie mobile ou de la garde républicaine mais portent les galons blancs (argentés) de la gendarmerie d'outre-mer. Le manque d'effectifs disponibles et l'augmentation de la demande ont cependant conduit à une re-centralisation partielle de cette gestion[6]. Commandée par un chef d'escadron (CEN), l'unité comporte un effectif d'environ 4 officiers et 240 hommes répartis entre un peloton hors rang (PHR) et quatre pelotons de sécurité spécialisés chacun dans une mission particulière en région parisienne. Elle a par ailleurs été dotée d’une application informatique de suivi en temps réel de la position des forces [6]. De plus, elle participe aux prises d’armes et défilés au profit de la Gendarmerie Nationale. En France, jusqu'au début des années 1920, seules les grandes métropoles - et notamment Paris - disposent de forces de police suffisamment nombreuses et entraînées pour intervenir efficacement lors des manifestations. — Nicolas Messyasz - Sipa L’escadron de gendarmerie mobile de Tarbes, nom de code EGM 35-6, n'est plus tout à fait opérationnel. Son état-major est implanté à Maisons-Alfort (94) depuis 2012[1]. Un peloton, commandé en général par un lieutenant, un sous-lieutenant ou un major - mais parfois par un capitaine - s'articule en deux groupes de taille égale. La gendarmerie mobile est une subdivision d'arme de la Gendarmerie nationale[3] française spécialisée dans le maintien ou le rétablissement de l'ordre. Les escadrons sont répartis entre 18 groupements de gendarmerie mobile dont 1 groupement blindé de gendarmerie mobile à Versailles Satory. Il s'agit principalement d'armes à feu non létales, également appelés armes de force intermédiaire (AFI). L'usage de l'armement individuel en légitime défense relève de la responsabilité individuelle des personnels. Par ailleurs, certaines unités basées en région parisienne effectuent des missions de sécurité et de soutien au profit des organismes centraux de la gendarmerie ou de certains organismes nationaux. Configuration « alpha » (quatre pelotons) ou « bravo » (trois pelotons). La cellule NRBC du GBGM peut être engagée de façon autonome ou en accompagnement des autres moyens NRBC de la gendarmerie (dont ceux propres aux escadrons du GBGM). Depuis cette date, l'autorité administrative utilise la même procédure de mise à disposition que celle employée pour la police et notamment pour les CRS[40]. Son effectif a été doublé et ses règles de fonctionnement ont été clarifiées. Après la fin de la guerre d'Algérie, elle reçoit davantage de missions d'assistance à la gendarmerie départementale ainsi que des missions de défense opérationnelle du territoire (DOT). Quand Bérénice Tabourel, une jeune femme de 24 ans, intègre à sa sortie d’école en avril 2017 l’escadron de gendarmerie mobile 28/1 de Drancy, cela fait seulement deux ans que les femmes ont réussi à mettre un pied dans la gendarmerie mobile.. Bérénice Tabourel (Crédit photo: Sylvain Auffret). Missions militaires et de défense. Certains escadrons implantés dans ou à proximité de zones montagneuses reçoivent également une qualification « montagne »[28]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il comprend 6 escadrons répartis également entre deux groupes d'escadrons implantés respectivement à Maisons-Alfort et à Melun. Basé à côté de la compagnie de gendarmerie de la ville, l'escadron mobile 44/3, rattaché au groupement d'Orélans, est l'un des 109 du genre en France. une nouvelle formation, l'escadron de sécurité et d'appui (ESA - voir ci-dessus) créée à la suite de la dissolution du groupement IV/1 en, la musique de la gendarmerie mobile (également à la suite de la dissolution du groupement IV/1 en, 2009 - EGM 26/1 : Côte d'Ivoire et Kosovo, Fin 2012 - début 2013 - EGM 24/1 - Afghanistan - Irak - Mali, Fin 2014 - début 2015 - EGM 28/1 - Irak - République centrafricaine, Groupement II/1 de gendarmerie mobile (depuis 1991), l'EGM 22/1 précédemment basé à Melun avec l'escadron 21/1, a été déplacé à Dugny par arrêté du, l'EGM 27/1 était précédemment l'EGM 34/1 avant dissolution du groupement III/1 en, l'EGM 28/1 était précédemment l'EGM 35/1 avant dissolution du groupement III/1 en, l'EGM 29/1 était précédemment l'EGM 33/1 avant dissolution du groupement III/1 en, 2 pelotons portés de l’escadron de gendarmerie mobile 23/1 d’Aubervilliers chargés des escortes des convois de la Banque de France ont été dissous en, l'ERGM 124/1 (Maisons-Alfort), créé en 2001, a été dissous le. Seule force spécialisée dans le maintien de l’ordre durant la période de l’avant-guerre, la garde républicaine mobile en développe et perfectionne les principes fondamentaux : canaliser les foules, retarder l’usage de la violence, toujours laisser une porte de sortie aux manifestants. Chaque escadron est identifié par un numéro ; exemples : escadron 15/3 à Vannes, escadron 15/6 à Nîmes ou escadron 25/6 à Digne-les-Bains. Sa création en 1921 répond à la prise de conscience du besoin d’une force de gendarmerie spécialisée dans le maintien de l'ordre pour compléter l’action de la police et surtout pour éviter l’emploi de l’armée, avec tous les risques que celui-ci comporte (fraternisation ou, à l'opposé, emploi d'un violence excessive). Un groupement comprend entre 4 et 10 escadrons. Le mot « gendarmerie », lorsqu'il désigne l'organisme d’État à caractère unique, e.g. Un peloton hors-rang (commandement, administration et. Lors des opérations de maintien de l'ordre, le grand public, mais également parfois la presse, qualifie souvent de CRS tout membre des forces de l'ordre portant un casque. 17 350 personnels. une réquisition est toujours nécessaire pour les autorités ne dépendant pas du ministère de l'intérieur : par exemple pour les présidents de l', 45e bataillon de chars de combat de la gendarmerie, Centre national d'entraînement des forces de gendarmerie, Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale, loi d'orientation et de programmation pour la sécurité intérieure (LOPSI), direction générale de la Gendarmerie nationale, Force internationale d'assistance et de sécurité, Escadron (Gendarmerie nationale française), http://www.assemblee-nationale.fr/14/rap-enq/r2794.asp#P250_57845, http://www.lessor.org/360-postes-supplementaires-vont-etre-crees-en-gendarmerie/, Rapport public annuel de 2017 sur l'emploi des forces mobiles, http://lessor.org/generalisation-de-lintegration-femmes-escadrons-de-gendarmerie-mobile/, http://www.senat.fr/rap/r07-271/r07-2719.html, http://www.assemblee-nationale.fr/13/pdf/budget/plf2012/a3809-tviii.pdf, Présentation de la Gendarmerie mobile sur le site officiel de la Gendarmerie nationale, Historique de la Gendarmerie mobile sur le site du GIGN, Histoire de la Maréchaussée et de la Gendarmerie - guide de recherche - sur le site du Service Historique de la Défense, Rapport relatif à l'emploi des munitions en opérations de maintien de l'ordre, Direction générale de la Gendarmerie nationale, Inspection générale de la Gendarmerie nationale, Gendarmerie de la sécurité des armements nucléaires, Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale, Peloton de surveillance et d'intervention de la Gendarmerie, Pôle judiciaire de la Gendarmerie nationale, Centre de lutte contre les criminalités numériques, Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique, Office central de lutte contre les crimes contre l'humanité, les génocides et les crimes de guerre, Office central de lutte contre la délinquance itinérante, Office central de lutte contre le travail illégal, Brigade départementale de renseignements et d'investigations judiciaires, Escadron départemental de sécurité routière, Forces aériennes de la Gendarmerie nationale, Peloton spécialisé de protection de la Gendarmerie, Centre d'opérations et de renseignement de la gendarmerie, Brigade de prévention de la délinquance juvénile, Brigade nautique (BN) / Brigade fluviale (BFG), Commandement spécialisé pour la sécurité nucléaire, Service de l'achat, de l'innovation et de la logistique du ministère de l'Intérieur, Commandement des écoles de la Gendarmerie nationale, École des officiers de la Gendarmerie nationale, École de sous-officiers de la Gendarmerie nationale, Centre national d’instruction de ski et d’alpinisme de la Gendarmerie, Centre national de formation à la sécurité routière, Centre national de formation de police judiciaire, Organisation de la gendarmerie départementale, Musée de la Gendarmerie nationale de Melun, Musée de la gendarmerie et du cinéma de Saint-Tropez, Escadron parachutiste d'intervention de la Gendarmerie nationale, Force de Gendarmerie mobile et d'intervention, Groupement de sécurité et d'intervention de la Gendarmerie nationale, Véhicule blindé à roues de la Gendarmerie, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gendarmerie_mobile&oldid=173352549, Unité ou formation militaire créée en 1921, Pages avec des arguments formatnum non numériques, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, ponctuels lors d'événements demandant des effectifs nombreux (services d'ordre, recherches et battues etc.) Le GIGN, qui fait partie intégrante de la Gendarmerie mobile. Jusqu'en 2015, il existait des unités de réserve de gendarmerie mobile (escadrons dérivés ou EDGM puis escadrons de réserve ou ERGM) mais ces unités ont été dissoutes lors de la fusion des réserves de la gendarmerie départementale, de la gendarmerie mobile et de la garde républicaine, les réservistes étant réaffectés au sein de compagnies de réserve territoriale (CRT). Renforts à la gendarmerie départementale. Ce sont les régions de Gendarmerie implantées au siège de l'une des sept. Cette structure quaternaire — similaire à celle des Compagnies républicaines de sécurité de la Police nationale (CRS) — a été adoptée depuis le début des années 2000 afin de favoriser la modularité et la « sécabilité » des escadrons sur le terrain. Voir notamment également, Arrêté du 17 mai 2010 portant dissolution de l’escadron de gendarmerie mobile 23/1 de Melun (Seine-et-Marne), Dernière modification le 17 janvier 2020, à 12:29, groupement de sécurité et d'intervention de la gendarmerie nationale, révision générale des politiques publiques, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Groupement_II/1_de_Gendarmerie_mobile&oldid=166442835, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Maintien et rétablissement de l'ordre sur le territoire métropolitain et outre-mer. équipements de protection individuelles : armement individuel ou collectif : pistolet, armement et équipement spécialisés pour le maintien de l'ordre : grenades lacrymogènes, grenades à main de désencerclement, grenades à effet de souffle et effet lacrymogène (appelées grenades lacrymogènes instantanées ou GLI), lancées à la main ou à l'aide de lanceurs spécialisés (lanceur de grenades 56, d'autres armements dont l'emploi n'est pas - ou plus - autorisé au maintien de l'ordre mais est plus particulièrement réservé à certaines missions de police ou militaires : pistolets à impulsion électrique (taser), grenades à effet de souffle OF F1 (grenades offensives), véhicules militaires tout terrain (camionnettes tactiques TRM 2000 et véhicules légers tout terrain (VLTT), véhicules blindés à roues de la gendarmerie (VBRG). Bulletin officiel du ministère de l'intérieur (BOMI) du 18 avril 2016. L'unité de coordination des forces mobiles (UCFM), placée sous la double autorité des directeurs généraux de la police et de la gendarmerie nationales est chargée de déterminer les unités - EGM ou CRS - à engager sur des missions nationales et de décider de l’octroi de renforts aux préfets de zone pour des opérations requérant un volume de forces supérieur à leurs ressources. La GRM devient une subdivision de la gendarmerie nationale en 1927. Les leçons des événements de mai 68 et des crises de la fin du XXe siècle la conduisent à faire évoluer ses tactiques et à moderniser considérablement ses équipements. L’emploi de véhicules blindés est subordonné à l’autorisation d’un préfet de zone pour un peloton de deux véhicules et du premier ministre au-delà de ce nombre. Une bande sonore alternative est disponible au téléchargement . La gendarmerie mobile intervient également au profit de la gendarmerie départementale et des formations spécialisées en fournissant des renforts : Enfin, elle effectue un certain nombre de missions à caractère militaire : escortes et missions de protection sur le territoire national, missions de rétablissement de l'ordre et de retour à la paix en opérations extérieures aux côtés des autres forces armées françaises. Les compagnies de CRS et les escadrons de gendarmerie mobile sont désignés par l'appellation commune d'Unité de force mobile[6]. Lors des missions outre-mer, les gendarmes mobiles utilisent des véhicules de groupe tous chemins de type Renault B110 4x4 ou des fourgons Irisbus. Comme la Garde est placée sous l'autorité de la Direction de la Cavalerie, l'unité élémentaire n'est plus la compagnie mais l'escadron. Créé par arrêté du 18 juin 2012, l'escadron de sécurité et d'appui (ESA) reprend une partie des missions préalablement assurées par les escadrons 42/1 et 43/1, implantés respectivement à Malakoff et Issy-les-Moulineaux, qui ont été dissous à la même date[3]. La gendarmerie départementale, elle est appelée « la blanche » en raison de la couleur argentée des siens (historiquement, couleur des, Ces deux termes proviennent de l'ancienne appellation de la gendarmerie mobile qui était « garde républicaine mobile ». En fait, une réquisition générale complétée par une réquisition particulière - avec ou sans emploi de la force - et, éventuellement, une réquisition complémentaire spéciale pour l'emploi des armes à feu. Quant à la Gendarmerie, elle mobilise en cas de besoin des pelotons de « troupes supplétives » [11]. C'est-à-dire tous les escadrons à l’exception de quelques escadrons de la région parisienne qui assurent des missions de sécurité et de soutien. dans les expressions « la Gendarmerie » ou « la Gendarmerie nationale », prend une majuscule comme cela est préconisé dans l'article sur les. Le groupement II/1 de Gendarmerie mobile (GGM II/1) fait partie de la Région de Gendarmerie d'Île-de-France (RGIF). Lorsque la situation nécessite l'emploi coordonné de plusieurs escadrons, ceux-ci sont regroupés dans un Groupement Tactique de Gendarmerie ou GTG[31] (2 à 5 escadrons) ou un Groupement opérationnel de maintien de l'ordre ou GOMO (plusieurs GTG ou plus de 5 escadrons), commandé par un commandant de groupement de gendarmerie mobile. Au cours des années 1970 sont formées en son sein des unités spécialisées (escadron parachutiste à Mont-de-Marsan en 1971, et équipe commando régionale d'intervention (ECRI) à Maisons-Alfort en 1973) qui donneront naissance au Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN)[15]. Il est d'ailleurs tout à fait possible d'organiser des scénarios en "serioux games" collectifs, dans lesquels les joueurs reçoivent chacun un rôle précis (chef de dispositif, chef de secteur, chef de tel ou tel type d'unités, etc). L'utilisation de cette extension gratuite requiert l'installation préalable du logiciel ALERTE FEU DE FORET (version démo non activée ou version démo activée par licence d'utilisateur), SITE OFFICIEL ALERTE FEU DE FORET : http://www.alerte-feu-de-foret.fr/, BLOG ALERTE FIRE : https://alerte-fire.blog4ever.com/, (Pour télécharger manuels, patches, packs, etc du logiciel de base), PAGES FACEBOOK : Chercher le profil GERARD REMI ALERTE FEU DE FORET, LIEN DE TELECHARGEMENT DE L'EXTENSION "ESCADRON" : Cliquez sur l'onglet "TELECHARGEMENTS" de ce blog pour accéder au lien, TELECHARGEMENT DU MANUEL "ESCADRON" : Cliquez sur l'onglet "MANUEL" de ce blog pour accéder à la page de téléchargement du manuel, https://www.facebook.com/Escadron-101873008174613/. équipements spécialisés protection et de lutte NRBC, notamment au groupement blindé de gendarmerie mobile. Le groupement comporte deux unités spécialisées : La Musique de la gendarmerie mobile fait partie des musiques militaires de la place de Paris, placée sous l’autorité du Commandant de la Région de Gendarmerie de Paris et du Gouverneur militaire de Paris. Au cours des dix dernières années (ie depuis 2006), le groupement ou certains de ses escadrons ont été projetés sur les théâtres d'opérations extérieures (OPEX) suivants : Unités créées, déplacées, renumérotées ou dissoutes, Arrêté du 18 juin 2012 portant dissolution du groupement de gendarmerie mobile II/1 de Melun (Seine-et-Marne) et création corrélative du groupement de gendarmerie mobile II/1 de Maisons-Alfort (Val-de-Marne), Un dixième escadron de marche numéroté 20/1 a été créé à Rosny-sous-Bois en juillet 2016.