consanguins.).

Il est donc de son devoir de faire le nécessaire de façon que, après sa mort, ses biens peuvent être distribués selon la volonté d'Allah et de son Prophète ﷺ. 3–Enfin, le pas sera aisément franchi, et nous trouvons, toujours chez al Bukhârî,[vi] mais cette fois nantie d’un isnâd, une troisième version de notre hadîth[vii] sous la forme standard que nous lui connaissons tous : « ‘Usâma ibn Zayd a dit que le Prophète a dit : Le croyant n’hérite pas de l’infidèle et l’infidèle n’hérite pas du croyant ». 1 – Vous semblez confondre un leg (fait de son vivant) et un héritage (partage “naturel” après la mort des héritiers) 2 – Il y a beaucoup plus à dire que cela, ne serait-ce que sur la traduction des versets mis en avant pour poser vos arguments et arriver à une conclusion qui relève plus d’une idéologie qu’à un vrai discours scientifique 3 – Dire que le hadith a été tronqué pour arranger nos savants est peu convaincant, n’y aurait-il pas d’autres intentions plus honorables ? Pas de rapport sexuel pendant 4 mois met-il fin au mariage ? de ses part au moment de verser la dot, La fille récupère normale causerait un tort. Et si un homme ou une femme meurt sans héritier direct, Où descendras-tu ? La philosophie de cette disposition consiste à : L’islam »sans doute du fait que l’Occident est reconnu être plus une terre de “convertis” que “d’apostats”, cela restant encore à démontrer…. Notre précédente étude concernant l’héritage selon le Coran n’avait pas abordé une question directe : « Un musulman peut-il hériter d’un non-musulman ?
omniscient. Dieu oublierait-il certains points alors même qu’Il s’exprime sur le sujet ?!

_g1.setAttribute('src', _g1.getAttribute('data-src') ); cousins, les neveux. considérer comme suffisant une fatwa élaborée par un moufti conformément à une question qui lui a été posée. [v]Hadîth n° 4282 « Fath al bârî » ; Sahîh al Bukhârî. Mais s’il a 2 Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Et la majorité des premiers ulémas est certainement un très bon indicateur. ni fils, ni petit-fils, du défunt>, -

} faut qu’il y ait des 2 témoins lorsqu’on écrit le testament.

C’est elle qui détermine sa dot, c’est sa propriété », -        Mais, nous dirions-nous, le Prophète peut avoir statué là où le Coran aurait été silencieux. lorsque les proches parents, les orphelins, les nécessiteux assistent au Or, si le Coran envisage bien la problématique de la transmission des biens du défunt,[i] il ne mentionne jamais expressément une telle interdiction interreligieuse. Celui qui est mort et a laissé une épouse, deux fils, quatre filles, deux petits-fils, deux petites-filles, des frères, une sœur et n’a pas laissé d’autres

Nous venons de montrer qu’il n’y avait aucun rapport logique entre la double spoliation réalisée par ‘Aqîl et les règles concernant l’héritage. petit-fils ou de petite fille. if ( localStorage.getItem(skinItemId ) ) { • Cependant, nous le savons tous, c’est le Prophète qui aurait interdit cela. indulgent », -        -

Étrange affirmation quand le Coran prône la tolérance religieuse et quand les musulmans réclament qu’on les respecte du fait de leur religion ! qui est mécréante. Le défunt n’a pas Si le Coran n’y fait aucune allusion, alors même qu’il aborde avec précision la transmission des biens par le legs testamentaire et l’héritage, c'est donc bien que ce silence est volontaire et, donc, signifiant. Par une série d’ajouts et de retraits de texte, l’on est passé de la version donnée par ‘Usama, sans aucun lien avec l’héritage,  à une sentence juridique fonctionnelle et conforme au point de vue des juristes musulmans. (oncle paternel de l’enfant). - Les religions les prirent en charge quasi naturellement, codifiant les baptêmes, les unions et les cérémonies funéraires, définissant des barrières et des limites entre l’appartenance ou non à la communauté religieuse, entre le permis et l’interdit, le pur et l’impur, le possible et l’impossible.
S’ils sont plus de deux, tous alors   participeront et sœurs, a un frère alors revient une portion égale a celle des deux sœurs.Allah a vous la moitie de ce que laissent vos épouses, si elles n’ont pas d’enfants. Mais il y a plus, et il est instructif de comprendre comment l’on parvient à un tel résultat : 1– Tout d'abord, il est aisé de constater que quatre informations sont comme superposées en ce « hadith » : a) Le premier propos cité est obligatoirement la base originelle du hadîth, il s’agit d’une question adressée par ‘Usâma au Prophète et de la réponse qu’il lui fit : « ‘Aqîl nousa-t-il donc laissé des habitations ou des maisons ?

La masturbation est-elle licite pour un homme marié ? Le » L’inverse est moins souvent évoqué : « Un non-musulman peut-il hériter d’un musulman ? - Les deux fils et les quatre filles se partagent ce qui reste de façon que chaque fils prend une part équivalente à celle de deux filles. Le defunt a trois frères et une sœur. Enter your account data and we will send you a link to reset your password. Ensuite au frère créanciers ont toujours priorités sur les héritiers. petit-fils ou une petite fille (issue de son fils).