Les écussons portés par l’homme permettent de le confirmer : le scratch CRS apposé sur le gilet est un « insigne cohérent », précise la police. Le premier écusson est une distinction, qui « signifie que le policier est tireur qualifié de la police nationale ». Le second est une inscription en grec, sur laquelle il est écrit « Molôn Labé ».

Cette force opérationnelle créée en 2004, à l’initiative de 5 pays de l’UE (Espagne, France, Italie, Pays-Bas, Portugal, puis rejointe par la Roumanie en 2008) est capable de déployer 800 gendarmes issus de ses membres sous 30 jours pour intervenir sur des opérations extérieures. Le premier écusson est une distinction, qui « signifie que le policier est tireur qualifié de la police nationale ». Grâce à ce dispositif, les utilisateurs du réseau social Aussi, aucun des patchs portés par ce policier ne ressemble au logo de l’EuroGendFor (connu en français sous le nom de Force de Gendarmerie Européenne) et qui se compose d’une «épée d’argent à garde cruciforme pointe en l’air et d’une grenade d’argent enflammée recouvrant l’épée et soulignée par une palme de lauriers et de chêne du même métal». En dessous, à gauche, l’écusson à deux bandes représente le grade du policier : c’est un insigne de brigadier-chef, ajoute la police. Cette milice aurait été déployée contre les « gilets jaunes », selon la légende de l’image. Société Non, cet homme n'est pas un membre «d'une milice européenne», FAKE OFF Une photo d’un CRS a été détournée sur Facebook. 20 Minutes est La recette d’une intox ? Les gilets jaunes n’ont malheureusement pas été épargné avec un tsunami d’idioties sur l’Europe. La recette d’une intox ? Le cliché montrerait un homme qui ne serait pas CRS, mais membre « d’une milice européenne EuroGendFor créée en 2004 pour le maintien de l’ordre ». Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Voir la réponse Par ailleurs, jamais non plus la FGE n’a été engagée opérationnellement sur le territoire de l’UE. Comme d’habitude avec chaque manifestation qui souhaite être a-politique, vous pouvez être sur que des charognards vont tenter de faire de la récupération politique afin de propager leurs idées politiques malsaines. Cette photo a été détournée. Envoyez un mail à l’adresse fake off@20minutes.fr ou écrivez-nous sur Twitter : 

Charte de bonne conduite L’insigne spartiate, associé au lobby pro-arme américain, n’avait donc pas sa place sur l’uniforme de ce CRS, comme le promettait le ministère de l’intérieur à CheckNews: «Ce qui est sûr, c’est que l’insigne disparaîtra». Choix de consentement © Copyright 20 Minutes - La fréquentation de 20 Minutes est certifiée par l’ACPM, Non, cet homme n'est pas un membre «d'une milice européenne», Une photo d’un CRS a été détournée sur Facebook. À l’époque CheckNews avait consacré l’article «Un CRS a-t-il le droit d’arborer un insigne d’extrême droite comme on le voit sur une photo ?» à l’insigne de ce policier. https://twitter.com/20minFakeOff. L’événement a été lancé par l’UNEF Paris 5.

On n’avait vraiment pas envie d’en parler mais puisque c’est Dans le cadre du confinement, les activités sportives extrascolaires pour les enfants sont-elles maintenues ? Reconfinement : puis-je rendre visite à un proche en Ehpad loin de mon domicile ?
Confinement : les déplacements entre régions pour raison professionnelle sont-ils autorisés ? Contacté par CheckNews, le service de presse de la gendarmerie répond que «la FGE n’est absolument pas intervenue opérationnellement en France, ni depuis le 17 novembre 2018 ni même avant. Sa présence dans l’espace UE s’entend uniquement lors d’exercices d’entraînements communs.». FAKE OFF Une photo d’un CRS a été détournée sur Facebook. — Mis à jour le 11/01/19 à 10h31. Deux autres écussons sont également visibles sur la poitrine du policier : l’un, brodé sur fond gris, représente une couronne de laurier avec un pistolet et un éclair. peuvent signaler une information qui leur paraît fausse. Sur son bras gauche, l’homme porte un écusson rond, sur lequel est brodée l’inscription « SPIAG ». Deux autres écussons sont également visibles sur la poitrine du policier : l’un, brodé sur fond gris, représente une couronne de laurier avec un pistolet et un éclair. L’homme se retrouve accusé d’être membre d’une force de gendarmerie européenne, qui serait intervenue pendant les manifestations de « gilets jaunes »…, Publié le 09/01/19 à 18h12

Mentions légales L’inscription « Molôn Labé », elle, n’est pas réglementaire : « cette inscription n’est pas prévue par le règlement général d’emploi de la police nationale », explique la police. Les membres de cette section procèdent généralement à des interpellations, explique la police. Une force de gendarmerie européenne serait-elle intervenue pendant les manifestations des « gilets jaunes » ? Le policier n’est donc pas un membre de l’ « EuroGendFor », comme il en a été accusé sur Facebook. Une force de gendarmerie européenne serait-elle intervenue pendant les manifestations des « gilets jaunes » ? Poursuivi par des manifestants, un policier s'est réfugié dans un pressing. La Gigantesque Arnaque du COVID-19 : Rothschild a breveté les tests biométriques Covid-19 en 2015 et en 2017.

Tout d’abord, cette photo n’a pas été prise le 5 janvier 2019. peuvent signaler une information qui leur paraît fausse. Sur l’image, diverses flèches ont été ajoutées afin d’attirer l’attention sur les insignes portés par l’homme en uniforme. Les membres de cette section procèdent généralement à des interpellations, explique la police. >> Vous souhaitez que l’équipe de la rubrique Fake off vérifie une info ? C’est ce qu’affirme un internaute sur Facebook, sur la base d’une seule photo. Cette force de gendarmerie, qui existe, n’est jamais intervenue en France. Question posée par Xavier BAYARD le 06/01/2019. Et arrivés devant le rectorat, on s’est fait nasser par les CRS et dans la nasse j’ai remarqué cet étrange insigne et l’ai pris en photo». Cette abréviation est celle de la section de protection et d’intervention 4e génération, une unité intégrée aux CRS. À l’origine de cette rumeur, on trouve ce montage montrant un membre des forces de l’ordre revêtant plusieurs insignes inconnus et accompagné d’un texte qui prétend que le 5 janvier 2019, des «CRS qui ne sont pas CRS et encore moins français» seraient intervenus dans le cadre de l’EuroGendFor, plus connue en français sous le nom de Force de gendarmerie européenne (FGE). Puis-je assister à des obsèques (ou un mariage) dans une autre région pendant le confinement ? Voir la réponse C’est un CRS photographié en mai. Les champs obligatoires sont indiqués avec *, Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML :
, Qui sommes-nous ? Cette force, créée en 2004, n’a jamais « été engagée opérationnellement sur le territoire de l’Union européenne », détaille la gendarmerie nationale à 20 Minutes. Partagez-le avec vos amis! Cet acronyme ne désigne pas « une milice européenne », mais un regroupement européen de gendarmerie, qui n’a pas été déployé en France. Le policier n’est donc pas un membre de l' « EuroGendFor », comme il en a été accusé sur Facebook. Est-on autorisé à déménager pendant le confinement ? L'EuroGendFor confirme à 20 Minutes « n'être impliquée d'aucune manière » dans la situation en France. publiée le 31.10.2020. Comme l’explique Libération, la phrase « Molôn Labé », qui signifie « Venez les prendre », est un des symboles utilisés par les partisans du port d’armes aux Etats-Unis. L’inscription « + POS + » donne le groupe sanguin de l’homme.

Et si oui cette force d’intervention européenne a-t-elle le droit d’agir sur le territoire français ?». C’est ce qu’affirme un internaute sur Facebook, sur la base d’une seule photo. Le magasin de jouets voulait rester ouvert, les gendarmes l’obligent à fermer, Anonymous D.C. Insider Exposes Ultra-Secret Covid Conspiracy Inside the Beltway, Attentat de Nice : « c’est Dieu lui-même que M. Macron insulte ».

partenaire de Facebook pour lutter contre les  « On le tolère car, en cas de blessure, il peut être soigné plus facilement », ajoute la police. Les écussons portés par l’homme permettent de le confirmer : le scratch CRS apposé sur le gilet est un « insigne cohérent », précise la police. La phrase aurait été prononcée par Léonidas, le roi des Spartiates, en réponse aux Perses qui demandaient aux Grecs de déposer leurs armes lors de la bataille des Thermopyles en 480 avant Jésus-Christ. Ces métadonnées indiquent que ce policier a été pris en photo le 29 mai 2018, au niveau du 48 de la rue Saint-Jacques dans le 5e arrondissement de Paris. Une photo ancienne, un montage sur Paint et une légende rédigée sur un ton indigné. Nous avons reformulé votre question initiale: «Des rumeurs indiquent que des membres de l’EuroGendFor, (force de gendarmerie européenne) seraient intervenus lors de la dernière manifestation des gilets jaunes à Paris. fausses nouvelles. Interrogée sur la possibilité d’une intervention sur le sol français, la gendarmerie précise que «la FGE contribue à la gestion de crises extérieures dans le cadre d’un mandat donné à une organisation internationale ou une force de coalition. Accueil; Société «Gilets jaunes»: Non, cet homme n'est pas un membre «d'une milice européenne» appelée «EuroGendFor» FAKE OFF Une photo d’un CRS a été détournée sur Facebook. Elle est actuellement engagée dans six missions internationales en Afghanistan, Mali, dans le Sahel, en République centrafricaine, en Libye et en Bosnie. Est-ce exact ? Enfin il s’agit bien d’un CRS, identifiable tant par l’insigne CRS sur son uniforme que par les deux bandes jaunes sur son casque, et non d’un membre de l’EuroGendFor.

Cette force de gendarmerie, qui existe, n’est jamais intervenue en France. L’homme sur la photo est bien un policier, confirme le service d’information et de communication de la police nationale à 20 Minutes. Non, la force de gendarmerie européenne n'intervient pas contre les gilets jaunes, Libération en version papier et numérique. Auprès de Taha Bouhafs qui avait été le premier à diffuser la photo de ce CRS sur Twitter, CheckNews s’est procuré le fichier original ainsi que d’autres photos afin d’en examiner les données EXIF. Elle est extraite d’un ouvrage de Plutarque. L’auteur de ces clichés précise le contexte: «c’était une manif lycéenne qui partait de Nation, qui a rejoint un rendez-vous d’étudiants pour bloquer le rectorat de paris, car il y avait un CA décentralisé de l’université paris 5 en vue de la fusion.