Informations légales   |   Le président Joao Lourenço a lancé de nombreuses réformes visant à réduire l'influence de la famille dos Santos sur l'économie, à améliorer la perception du climat des affaires et à sortir le pays de la crise, mais la situation sociale en Angola reste tendue. Le gouvernement a récemment investi massivement dans les productions de café, de canne à sucre et d'éthanol, ce qui devrait contribuer à diversifier les revenus et les exportations agricoles.Le secteur des services (banque, communication, tourisme) connaît également une croissance rapide, représentant 46,8% du PIB et employant 43% de la population. Structural reforms will contribute to the economic recovery from 2020 onward. L’introduction d’accises sur de nombreux produits générerait une hausse des recettes, tandis que la réduction des subventions aux carburants et des transferts aux entreprises nationales réduirait les dépenses. Exportations françaises vers l’Angola (2018) : 268 M € (Douanes) Le risque de surendettement reste important, la dette étant très vulnérable aux dépréciations de la monnaie et aux variations du prix du pétrole. L’Angola accueille le siège de la Commission du golfe de Guinée (CGG) et contribue aux efforts de lutte contre l’insécurité maritime. Investments in activities and value chains based on comparative advantages in agriculture, fisheries, and petrochemicals need to be aligned with skill upgrading and human capital development. La production pétrolière et les grands chantiers à Luanda n'effacent cependant pas les inégalités sociales : de nombreux Angolais vivent dans des bidonvilles comme celui de Prenda. Dès son entrée en fonction, le président a imposé des changements à la tête des administrations (y compris la police, les services de renseignement et les forces armées), ainsi que de la banque centrale, des principales entreprises publiques (dont la compagnie nationale des pétroles SONANGOL) et du Fonds souverain. La conjoncture économique ... Santos sur l'économie, à améliorer la perception du climat des affaires et à sortir le pays de la crise, mais la situation sociale en Angola reste tendue. Sur le plan international, l’Angola a démontré son engagement envers la paix et la stabilité en Afrique, en particulier dans la région des Grands Lacs. The current account surplus is estimated to narrow from 6.9% of GDP in 2018 to 0.5% in 2019, driven by lower export earnings from the oil sector. L'Angola est le deuxième producteur de pétrole d'Afrique, un producteur net de gaz naturel et le troisième producteur de diamants du continent, dépassé seulement par le Botswana et la République Démocratique du Congo. La baisse de la production de brut, consécutive à l’insuffisance des investissements dans les activités de prospection ces dernières années, ne serait pas enrayée par la montée en puissance des deux unités de production et de stockage du projet Kaombo (mises en service en 2018 et 2019).

Les inégalités, la morosité économique et l’inflation nourrissent le mécontentement populaire. Environ un tiers seulement des terres arables angolaises sont utilisées pour les récoltes et seuls 100 000 hectares sur cinq millions bénéficient de machines et / ou de traction animale pour le semis et la récolte. Les importations de certains produits, tels que les produits pharmaceutiques et agricoles, nécessitent toujours des autorisations des ministères officiels concernés. Performances macroéconomiques et perspectives L’Angola continue de faire face à un environnement macroéconomique difficile depuis la forte baisse des prix du pétrole en 2014. Communauté angolaise en France : plus de 12 000 ressortissants (ministère de l’Intérieur, 2016). La libération totale du change, opérée en octobre 2019 avec la suppression de la bande de fluctuation de 2 %, et la dépréciation consécutive de 20 % du kwanza ont permis d’alléger la pression sur les comptes extérieurs, mais pas de réduire l’écart entre le taux officiel et celui du marché parallèle, annonciateur d’une poursuite de la dépréciation. En 2019, malgré les efforts réalisés en matière de réformes (adoption d’une loi sur la TVA, libéralisation du taux de change, budget rectificatif conservateur), l’économie angolaise a continué de pâtir des mauvaises perspectives du secteur pétrolier. Les modalités de Traitement des données personnelles et les Conditions d'utilisation ont été modifiées. La consommation privée souffrirait d’une inflation encore élevée et d’une charge fiscale importante, pesant sur le pouvoir d’achat des ménages.

Étant donné la forte dépendance aux ressources pétrolières (45 % du PIB, 70 % des recettes et 98 % des exportations jusqu’en 2014) la chute du cours du baril de pétrole a eu un très fort impact sur l’économie angolaise.

L’excédent du compte courant, diminué par la baisse des recettes d’exportation du secteur pétrolier, devrait se réduire, passant de 6,9 % du PIB en 2018 à 0,5 % en 2019 selon les estimations. En 2018, les exportations de marchandises ont atteint 42,12 milliards USD (+22% par rapport à 2017), tandis que les importations se sont élevées à 15,44 milliards USD (+7%). Le président Joao Lourenço a lancé de nombreuses réformes visant à réduire l'influence de la famille dos Santos sur l'économie, à améliorer la perception du climat des affaires et à sortir le pays de la crise, mais la situation sociale en Angola reste tendue. En juillet 2012, l’UE et l’Angola ont souscrit une « Action conjointe pour le futur » visant à renforcer le dialogue politique et la coopération dans de nombreux domaines, notamment à travers des rencontres ministérielles UE/Angola (2014, 2015, 2017, mars 2019). The oil price shock of 2014 reduced oil revenues from 35.3% of GDP to 17.5% in 2017, leaving an estimated fiscal deficit of 0.1% of GDP in 2019. Les inégalités, la morosité économique et l’inflation nourrissent le mécontentement populaire.